Polytech Montpellier Université de Montpellier

Concours Ecotrophelia : un superbe prix pour les Pescad'Oc

L’équipe d’étudiants de la spécialité Génie biologique et agroalimentaire a remporté hier le prix Innovation Produit de la Pêche Française, prix d’une valeur de 4000 € soutenu par France Filière Pêche, pour son innovation Les Seackers, lors du concours Ecotrophelia France 2020.

Lors des épreuves qui se sont déroulées au Palais des Papes d’Avignon, ils ont réussi à convaincre les professionnels de la qualité de leur éco-innovation permettant de valoriser le maquereau de Méditerranée sous la forme de crackers sains, locaux et éco-conçus.

Ils n'avaient que dix minutes pour convaincre le jury national. Tous les retours ont été très positifs.

"Notre objectif était vraiment de valoriser la pêche méditerranéenne durable et raisonnée, grâce à notre partenariat avec l’association sétoise, Sa.Tho.An, en développant une formule qui comprend plus de 30 % de maquereau, détaillent Camille et Marvin. Nous voulions aussi proposer un produit prêt à l’emploi, qui correspond à la consommation des jeunes : des biscuits à déguster à l’apéritif, et sains (nutri-score A), sans additif, sans colorant, sans conservateur. Et c’est une nouveauté de pouvoir retrouver du poisson au rayon sec !"

Ils ajoutent : "Obtenir le prix France Innovation Produits de la pêche française est une grande satisfaction. Cette expérience restera gravée à jamais : nous l’avons voulu ce prix et nous l’avons eu ! C’était aussi de superbes rencontres avec les autres participants. Et grâce à ce prix nous allons pouvoir nous offrir quelques vacances bien méritées, et mettre de l’argent de côté le temps de trouver du travail."

Encore félicitations à tous les six !

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Compte à rebours pour le lancement du spatial de pointe à Polytech Montpellier et à l’IUT de Nîmes

Un nouveau diplôme d'établissement (DE) de l’Université de Montpellier sur le Développement des Systèmes Spatiaux verra le jour à la rentrée 2020. Ce diplôme, soutenu par l’I-Site MUSE, est porté par Polytech Montpellier (école d'ingénieur de l'Université de Montpellier), en partenariat avec l'IUT de Nîmes, le Centre Spatial Universitaire de Montpellier et le service de formation continue de l’Université de Montpellier.

Une formation de haut-niveau


Cette formation d'un an (Bac+6) s'adresse à des ingénieurs ou titulaires d'un Master dans les domaines de l'électronique, de l'informatique, des matériaux, de la mécanique, etc., qui souhaitent élargir leurs compétences vers des métiers associés aux aspects systèmes, qualité et gestion de projets spécifiques dans le spatial.

Une quinzaine d’étudiants sont attendus pour la première promotion en octobre 2020. Cette formation, portée par Polytech Montpellier et l'IUT de Nîmes s’adresse aussi bien à des ingénieur.e.s aéronautiques déjà en poste (en formation continue diplômante) qu’à des ingénieur.e.s généralistes ou des diplômé.e.s de Mater 2.

Elle a pour but de répondre aux besoins des entreprises du secteur spatial (bien moins touché que l’aéronautique par la crise du COVID-19) et peut ouvrir une voie de reconversion dans un secteur de pointe pour des salariés en recherche de formation continue en cette période difficile. C’est la Fondation Van Allen (FVA), fondation partenariale de l’Université de Montpellier (UM), qui en a fait le constat. Elle accompagne stratégiquement et financièrement le Centre Spatial Universitaire de Montpellier (CSUM), plateforme technologique de de l’Université de Montpellier, qui développe des nanosatellites depuis 2012.

Le diplôme DSS a vocation à couvrir l’ensemble du cycle de développement, depuis la définition système, à la conception, à l’assemblage, l’intégration, jusqu’aux tests environnement simulés du satellite. La formation aura la particularité de faire intervenir des industriels partenaires ainsi que des ingénieur.e.s seniors du CSU dans les enseignements et d’offrir les installations du CSUM pour exercer toute la partie pratique.


De nouveaux métiers en vue


Tout en conservant leur spécialité d’origine, les diplômé.e.s pourront s’adapter au domaine du spatial ou accéder à des métiers plus spécifiques comme ingénieur.e système, ingénieur.e AIT (Assemblage / Intégration / Tests) ou encore, travailler dans l’Assurance Produit et la gestion de projet avec une vision globale. Le vivier d’emplois se trouve, par exemple, au sein de l’Agence spatiale européenne (ESA) ou l’Agence française de l’espace (CNES) et chez les grands industriels et leurs nombreux sous-traitants. Les diplômé.e.s de ce DE pourront également prétendre à de nouveaux métiers, liés à l’évolution de l’industrie spatiale et au New Space dont Elon Musk et son entreprise Space X sont les figures de proue.

« L'espace est de plus en plus accessible et attractif, confirme Laurent Dusseau, directeur du CSUM et de la FVA. Aujourd’hui, on crée des constellations de centaines « petits » satellites de quelques centaines de kilos à côté des satellites géostationnaires de plusieurs tonnes et des missions d’exploration scientifiques toujours plus complexes. On a donc besoin de nouvelles compétences ! »

Autre problématique actuelle : l’espace durable et en particulier la limitation des débris spatiaux qui implique la sortie en fin de vie des zones dites protégées, comme l’orbite basse, par exemple. « A la frontière du cadre juridique et de la technique émergent de nouveaux métiers liés à la loi relative aux opérations spatiales. Toutes les solutions comme le choix judicieux des matériaux et la propulsion électrique par exemple, sont évaluées sur nos nanosatellites. Ce sont ces nouvelles connaissances que nous souhaitons aujourd’hui transmettre », conclut Laurent Dusseau.

Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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Transition écologique : la réponse de l'école sur les défis environnementaux

Polytech Montpellier fait partie de la trentaine d'écoles qui ont répondu au Grand Baromètre de l'écologie sur les axes de gouvernance, formation, débouchés professionnels, recherche...

Le collectif étudiant "Pour un réveil écologique" a lancé une grande étude pour savoir où en sont les établissements du supérieur sur l’intégration des enjeux de transition écologique dans leurs pratiques. Voici la réponse de l'école sur ces défis environnementaux.

Voir la réponse de Polytech Montpellier

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En savoir plus sur le collectif

I-site Muse : Cinq projets Polytech acceptés

 Les cinq projets MUSE soumis dans le cadre du Take off #3 (cursus et nouveaux diplômes) ont été acceptés :

  • Parcours Recherche Ingénieur (PRI) | Porteur du projet : Stephan Brosillon
    Pour une labellisation "Parcours Recherche Ingénieur" pour nos étudiants les plus motivés par la recherche, en partenariat avec les unités de recherche, les masters et les écoles doctorales.
  • Scale up Of FLOW Training (SOFT) | Porteuse du projet : Laetitia Picart-Palmade
    C'est la continuité du programme FLOW, l’école d’été internationale sur les Grands Défis Industriels en France proposée par Polytech depuis 2019.
  • Former des Ingénieurs Cloud Responsables du 21ème siècle (FICR) | Porteur du projet : Arnaud Castelltort
    Il s’agit de la formation "Développement informatique et exploitation Opérationnelle"(DO), nouvelle formation par apprentissage dans le domaine du numérique.
  • Diplôme d’Université "Développement de Systèmes Spatiaux" (DU DSS) | Porteurs du projet : Wilfried Desrat, Serge Pravossoudovitch et Jean-Marc Galliere
    Cette formation d'un an s'adressera à des ingénieurs ou titulaires d'un Master dans les domaines de l'électronique, de l'informatique ou des matériaux (liste non exhaustive), qui souhaitent élargir leurs compétences vers des aspects systèmes, qualité et gestion de projets spécifiques dans le spatial.
  • Diplôme d’Université "Sécurité numérique des systèmes embarqués" (DU SECNUM) | Porteur du projet : Pascal Benoit
    Développement une formation d’experts en sécurité́ numérique des systèmes embarqués pour répondre à la carence d’ingénieurs spécialistes sur le marché.

    En complément, un projet Take Off #4 (équipements innovants) a également été accepté :
  • Diplôme d’Université "Développement de Systèmes Spatiaux" (DU DSS) | Porteurs du projets : Wilfried Desrat, Jean-Marc Gallière

Une enveloppe globale de 800 000 euros a été allouée à l'ensemble de ces projets.

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